Résumé
Article mis en ligne le 13 décembre 2016
dernière modification le 6 octobre 2020

HIGH-TUNE

Amélioration et calibration des paramétrisations des nuages de couche limite à partir
de simulations haute résolution
« HIGH resolution simulations to improve and TUNE the boundary-layer cloud parameterizations »

Coordination : Fleur Couvreux

Date : 1 Decembre 2016-30 Septembre 2021

Résumé court :
Le projet HIGH-TUNE vise l’amélioration et la calibration des paramétrisations impliquées dans la représentation des nuages de couche limite. Il se base sur une exploitation extensive de la comparaison de simulations à haute résolution et de modèle uni-colonne (extraction d’une colonne atmosphérique d’un modèle 3D qui intègre le même ensemble de paramétrisations physiques) sur un ensemble de 12 cas permettant d’explorer l’ensemble des régimes de couche limite. Il cherche à déterminer des calculs de référence de l’effet radiatif des nuages de couche limite (vidéo ci-dessous montrant une visualisation virtuelle de cumulus d’alizés) et démontrer l’apport d’un outil de réglage des paramètres libres des paramétrisations. Il regroupe des statisticiens, des experts du rayonnement, de modélisateurs du climat et de l’atmosphère et des spécialistes des processus atmosphériques.

Mots Clés : nuages de couche limite, effets radiatifs, modèle de prévision du temps, modèles de climat, simulations LES, code radiatif, Monte-Carlo, Tuning, Modèle uni-colonne, Paramétrisations

Contact :fleur.couvreux (at) meteo.fr

Plus d’images sous l’onglet Actualités

Rendu virtuel d’une scène de nuages 4D produite par une simulation LES réalisée avec le modèle Méso-NH (Lafore et al 1998, Lac et al 2018). Chaque image a été produite avec htrdr (un code de transfert radiatif Monte-Carlo qui produit des images virtuelles dans le visible ou l’infrarouge de scènes composées d’un mélange de gaz atmosphériques, de nuages et de surface ; Plus d’information sur l’outil développé sous https://www.meso-star.com/projects/high-tune/high-tune.html et Villefranque et al, 2019) en utilisant 4096 lancés de rayon par pixel. Les images résultantes ont été traitées avec le programme htpp.